L’investissement immobilier est devenu un placement très prisé par les particuliers. En plus de se constituer un patrimoine immobilier, les investisseurs peuvent également bénéficier d’une défiscalisation immobilière dans le neuf comme dans l’ancien. Entre la loi Pinel, la loi LMNP, la loi Malraux ou Girardin, les dispositifs de défiscalisation permettent de jouir d’avantages fiscaux non négligeables. Mais pour réussir votre défiscalisation immobilière, vous devez absolument connaître les modalités à respecter. Sachez que cela va dépendre du type de logement dans lequel vous allez investir.
Qu’est-ce que la défiscalisation immobilière ?
Dans le but d’inciter les particuliers épargnants à investir dans le neuf mais également dans l’ancien (avec des conditions spécifiques), l’état a mis en place des dispositifs de simulation defiscalisation permettant de réduire les impôts dont le plus connu est la loi Pinel. Le but de ces dispositifs est de favoriser le développement immobilier en facilitant l’accès à l’habitation. Mais à part la loi Pinel, on compte également d’autres outils de défiscalisation. Cependant, vous devez prendre connaissance si vous êtes éligible à ces dispositifs avant de vous lancer dans l’achat.
La défiscalisation dans le neuf
- La loi Pinel : elle concerne l’investissement dans le neuf dans les zones concernées. La réduction d’impôts dépend du prix d’achat plafonné à 300 000 euros et de la durée de la mise en location. Pour en bénéficier, veillez à bien choisir l’emplacement du bien à acheter.
- La loi Censi-Bouvard : valable pour les biens neufs ou en cours d’achèvement dans certaines zones.
La défiscalisation dans l’ancien
- La loi Malraux : appliquée pour l’investissement locatif en Secteur Sauvegardé ou en Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain ou Paysager.
- La loi Monument historique : concerne un immeuble classé monument historique.
- La loi Girardin pour l’investissement immobilier locatif en outre-mer.
